Catherine Mambiko Nyabita est depuis 2018, assistante-chercheure au Centre de Criminologie et de Pathologie Sociale (CCPS), rattaché à l’Ecole de criminologie de l’Université de Kinshasa, en République Démocratique du Congo (RDC).
Elle détient une licence en psychologie clinique de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) et une autre spécialisée en criminologie de l’Université de Lubumbashi, en RDC. Elle est actuellement doctorante à l’Institut d’Etudes Religieuses (IER) Comme chercheure au CCPS, Catherine Mambiko Nyabi a participé à trois recherches sur la violence urbaine des jeunes (kuluna) à Kinshasa, dont deux publiées aux éditions Academia l’Harmattan en 2017 et 2019, sous les intitulés que voici :
Violence urbaine et réaction policière à Kinshasa (RD Congo) : Sens et non-sens ;
Puzzle de sorties de violence urbaine à Kinshasa (RD Congo).
En 2018, elle a assumé la fonction de Coordonnatrice en charge de données de la commission psychosociale au sein de la Coordination Générale de la riposte à la Maladie à Virus Ebola à l’Est de la République Démocratique du Congo.
Ces huit dernières années, Catherine Mambiko Nyabita s’est intéressée à la question de violence urbaine des jeunes (kuluna) à Kinshasa, à travers une approche qualitative. Actuellement, elle focalise ses recherches sur la problématique des violences basées sur le genre, à travers les rites de veuvage en République Démocratique du Congo.